
Des travailleurs·ses qui ne travaillent plus ou qui sont en activité partielle, d’autres qui oeuvrent dans des conditions compliquées, certains qui découvrent les commodités mais aussi les difficultés du télétravail, sans oublier tous ceux et celles qui ont perdu leur emploi (souvent précaire) et qui n’en retrouveront pas de sitôt… Et puis nous tous et toutes qui sommes cette année privés de rassemblements militants, de défilés syndicaux, de festivités amicales ou familiales, et peut-être même de muguet… décidément le 1er mai 2020 ne met ni le travail ni les travailleurs·ses à la fête ! Ce nouveau numéro de L’Inouï du confinement donne justement la parole et rend hommage aux salarié·es qui subissent cette drôle de période, sans perdre l’espérance de nouveaux « jours heureux ». Il est également tourné vers le 1er-Mai à travers les réflexions, paroles et propositions de nos Mouvements (deux pages sont plus destinées aux enfants, merci l’ACE), dont celle de l’ACO que nous relayons.